A l’occasion de la Journée Internationale des droits des femmes, le 8 mars, BNP Paribas Banque Privée réitère son engagement pour l’insertion et l’accompagnement des jeunes femmes vulnérables.
Chaque année, la Banque Privée reverse une partie de ses revenus tirés de l’Investissement Socialement Responsable (ISR) à une sélection de programmes soutenus par la Fondation de France.
En 2022, 150 000 € ont ainsi pu être versés sous forme de dons, en faveur de 4 thématiques phares :
-L’environnement et la préservation du littoral.
-L’emploi et l’aide aux personnes en difficulté pour accéder au marché du travail.
-Le décrochage scolaire en redonnant aux collégiens en difficulté goût aux études et à l’apprentissage.
-L’insertion et l’émancipation des jeunes femmes par le sport.
A ce titre, nous vous invitons à découvrir les 2 projets soutenus :
Emancipation et autonomie des femmes par la pratique de la randonnée :
Les femmes victimes de violence souffrent pour la plupart d’isolement, de perte de confiance en soi, de méconnaissance de leurs capacités et d’un rapport négatif au corps, celui-ci ayant été fortement dénigré, maltraité.
Le projet avec l’association CoMet’ (Coopoération, Méditation,Ethnologie), vise l’émancipation par la montagne de ces femmes. En leur proposant des activités sportives, des sorties en montagne associées à des temps de paroles et d’échanges, l’association leur permet de se soutenir, se dépasser et de bénéficier de cette dynamique de groupe pour surmonter les traumatismes. L’émergence de l’appartenance à un groupe afin de rompre avec le sentiment d’isolement est un élément essentiel dans leur reconstruction.
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Insertion des femmes grâce à un programme d’activités physiques et sportives
Ce projet porté par l’association Ecole de la 2éme Chance en Isère (E2C), consiste à accompagner des jeunes femmes de 16 à 25 ans en situation de fragilité. Issues des milieux défavorisés, elles rencontrent des problématiques sociales et professionnelles : fort isolement, problématiques d’insertion professionnelle, absence ou faibles revenus, violences…Un certain nombre d’entre elles n’ont pas pratiqué de sport étant jeune et n’en ont pas les moyens alors même que la pratique sportive est un outil reconnu de réassurance.
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